De plus en plus de Français se tournent vers des pratiques de soins dites « non conventionnelles » , pour soulager certains maux du quotidien. Pour en profiter en sécurité, il est néanmoins important de s’assurer de paramètres tels que les qualifications des praticiens, mais aussi la loyauté des informations fournies. La DGCCRF vous délivre des conseils pour choisir vos praticiens avec attention.
L’essentiel
- Les pratiques de soin non conventionnelles, aussi appelées médecines douces, incluent des pratiques complémentaires utilisées en plus des soins conventionnels pour améliorer le bien-être.
- Ces pratiques ne sont pas reconnues au plan scientifique. À l’exception de l’acupuncture, l’exercice de la plupart des pratiques de soin non conventionnelles ne requiert pas l’obtention de diplômes nationaux.
- Avant de recourir à une prestation de soins non conventionnels, un temps de réflexion préalable est nécessaire, notamment pour vous assurer que votre situation ne présente aucune contre-indication.
- Pour choisir le professionnel, vérifiez qu’il vous fournit une information exacte sur les prix pratiqués, la nature des soins et les bénéfices attendus à l’issue de la prestation, que le contrat ne comporte pas de clauses abusives et qu’une note pourra vous être remise si le montant de la prestation dépasse 25 euros.
Pour aller plus loin
- Qu’est ce que les pratiques de soin non conventionnelles ?
- Qui sont les professionnels proposant des pratiques de soin non conventionnelles ?
- Existe-t-il des diplômes ou des formations reconnus pour certaines médecines non conventionnelles ?
- A quelles informations faut-il être attentif en tant que consommateur ?
- Les dérives sectaires
- Liens utiles
Source : Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes [DGCCRF], mis à jour le 06 juin 2025